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………Hippolyte calomnié… par Lucien Goldmann Bien que Racine ait affirmé, à la suite d'Aristote, que les personnages tragiques ne devaient être ni tout à fait bons ni tout à fait méchants [1] et que ce point de vue semble, en effet, devoir s'imposer à quiconque prend la peine de réfléchir un instant à la nature de la tragédie et aux fins qu'elle se propose [2], Lucien Goldmann n'en soutient pas moins que la tragédie racinienne se caractérise par une « opposition radicale entre un monde d'êtres sans conscience authentique et le personnage tragique, dont la grandeur consiste précisément dans le refus de ce monde et de la vie [3]». Selon lui, « un fossé infranchissable [4]» sépare les quelques personnages auxquels il accorde le statut de « personnages tragiques » [5], de tous les autres personnages qui peuvent être soit des « fauves » soit des « pantins », mais qui « ont tous en commun le seul caractère vraiment important pour la perspective tragique, l'inauthenticité, le manque de conscience et de valeur humaine [6]» et, à ce titre, font tous partie de ce qu'il appelle « Le Monde ». S'ils sont « psychologiquement différents », les « pantins » et les « fauves » n'en sont pas moins « moralement identiques par leur absence de conscience et de grandeur humaine [7]». L'absurdité de la thèse de Goldmann est si grande que, pour permettre de pleinement la mesurer, il faudrait écrire un gros livre. Je me contenterai aujourd'hui d'essayer de montrer sur un exemple précis jusqu'où peuvent aller chez l'auteur du Dieu caché, l'inintelligence et le mépris des textes, en défendant un personnage qu'il a particulièrement maltraité, mais dont, il est vrai, le destin est d'être calomnié : Hippolyte.
Le dessein en est pris, je pars, cher Théramène (I, 1). Le spectateur pourrait encore croire, d'après les vers qui suivent, qu'il s'agit d'un départ courageux pour accomplir un devoir filial en cherchant son père disparu; Théramène lui-même le pense. Hippolyte a cependant tôt fait de nous détromper. Ce n'est pas un départ, c'est bien une fuite : Enfin en le cherchant je suivrai mon devoir
On voit que le commentaire est tout de suite tendancieux, Car enfin Hippolyte ne contredit pas ce qu'il a dit au début: il le complète. Il ne dit pas que son départ n'en est pas un; il ne dit pas qu'il n'est, en réalité, qu'une fuite : il dit qu'il est aussi une fuite. On pourrait certes discuter pour savoir si le départ l'emporte sur la fuite ou la fuite sur le départ; on pourrait peut-être même juger que la seconde hypothèse est la plus vraisemblable. On ne peut pour autant affirmer a priori qu'il ne s'agit aucunement d'un départ inspiré par le devoir filial, et aussi sans doute par le goût de l'aventure et l'impatience de marcher sur les traces du héros qu'est son père [12]. Enfin, ,et surtout, cette « fuite » elle-même est dictée à Hippolyte par le sentiment de son devoir, à cause de l'interdit paternel qui pèse sur Aricie.
Cet heureux temps n'est plus. Tout a changé de face
Tout de suite, cependant, Hippolyte se reprend : Sa vaine inimitié n'est pas ce que je crains.
Dans ces vers, tout est faux. Dans la pièce, l'inimitié de Phèdre n'existe pas, sa jalousie d'un instant ne sera pas vaine et Hippolyte fuira non pas Aricie, mais Phèdre, comme il l'avait dit auparavant [13]».
La fille de Minos et de Pasiphaé sera son argument essentiel pour soutenir qu'inconsciemment, bien sûr, Hippolyte est obsédé par Phèdre et qu'il refoule cet amour incestueux en se raccrochant à Aricie [14]. Elle mérite donc qu'on s'y attarde un peu. M. Alfred Bonzon, qui se montre très sévère pour les analyses de Goldmann, mais qui est loin pourtant d'en avoir vraiment mesuré toute l'absurdité, a essayé de lui répondre : « II est très vrai qu'Hippolyte, à un certain moment, au cours de la pièce, exactement à l'acte II, sc. 6, fuira Phèdre. mais pour l'instant c'est bel et bien Aricie qu'il fuit. L. Goldmann, pour les besoins de sa démonstration, fait bon marché de l'une des beautés de la tragédie : Racine, par une savante gradation du pathétique, pose dans la première scène de la pièce, sous la forme atténuée de l'amour d'Hippolyte pour Aricie, le thème de l'amour fatal et coupable; puis il le reprend, largement orchestré, dans la grande scène des aveux de Phèdre [15]». Mais cette réponse est très insuffisante. Elle n'explique pas vraiment pourquoi, si Hippolyte fuit Aricie, il commence par évoquer : La fille de Minos et de Pasiphaé. Le lecteur qui ne connaît pas suffisamment la pièce, peut, en effet trouver cela assez étrange. Mais, avant d'accuser Hippolyte de n'avoir jamais « une conscIence claire de sa propre nature et de sa propre situation », Goldmann eût été mieux avisé de prêter au texte un peu plus d'attention. Peut-être aurait-il compris alors qu'Hippolyte ne donnait pas à Théramène « deux réponses différentes », dont la première serait la seule vraie, la seconde étant entièrement fausse, mais qu'il lui donnait une réponse en deux étapes. Il aurait peut-être compris que, lorsqu'il invoque Aricie, Hippolyte ne « se reprend » pas, mais progresse et franchit enfin le pas décisif. Il aurait peut-être compris que la première réponse d'Hippolyte était passablement jésuitique, qu'il jouait quelque peu sur les mots, ou, pour employer une expression familière, qu'il tournait autour du pot. Car, à la lettre, sa réponse est tout à fait exacte. Théramène lui a demandé « depuis quand » il se sentait mal à l'aise à Trézène [16] et Hippolyte lui répond que c'est « depuis que » Phèdre est arrivée à Trézène. Or c'est bien, en effet, depuis le jour où, il y a plus de six mois, Phèdre a débarqué à Trézène que date le « chagrin » d'Hippolyte. Mais le malaise d'Hippolyte n'est nullement dû à la présence de Phèdre, il est dû à celle d'Aricie qui a débarqué en même temps que Phèdre, comme Hippolyte nous l'apprendra plus loin, lorsqu'il dira à Thésée en parlant de Phèdre : ……………Je ne la cherchais pas
La réponse qu'Hippolyte fait à Théramène ne constitue donc qu'une indication purement chronologique. Comme Phèdre le fera avec Œnone, à la scène 3, Hippolyte essaie de mettre Théramène sur la voie. Mais, de même qu'Œnone sera à cent lieues de soupçonner la vérité, Théramène est fort loin de se douter qu'Hippolyte puisse être tombé amoureux. De plus, et surtout, en évoquant la figure de Phèdre, Hippolyte, sans le vouloir, l'engage sur une fausse piste : J'entends. De vos douleurs la cause m'est connue,
La réaction de Théramène est tout à fait naturelle et Hippolyte aurait dû s'y attendre, si, contrairement à ce que prétendent Goldmann et Mauron, sa pensée n'avait pas été tout entière orientée vers Aricie, si, comme il le dira dans la réplique suivante, la « vaine inimitié » de Phèdre n'était pas devenue le cadet de ses soucis. Mais cette réaction. Racine, lui, l'avait prévue. Car, si, en réalité, Hippolyte pense fort peu à Phèdre alors même qu'il l'évoque, Racine, lui, n'oublie pas qu'elle est son personnage principal et qu'il doit préparer son entrée. « Comment, écrit Goldmann, ne pas admirer le génie de Racine qui, dépassant la vérité psychologique pour la vérité essentielle, fait dire à Hippolyte ce qu'il ne pense et ne sait précisément pas encore ? [19]». Mais « le génie de Racine » n'est pas ici d'avoir permis à Goldmann de faire un contresens (il n'a vraiment pas besoin qu'on l'aide) : il est d'avoir su admirablement concilier les exigences dramatiques d'une scène d'exposition avec la vérité psychologique.
Quel péril ou plutôt quel chagrin vous en chasse ? Hippolyte n'avoue pas tout de suite quelle est la véritable cause de son chagrin ? Comment s'étonner qu'il veuille faire un détour pour y arriver ? C'est le contraire qui aurait été surprenant, et l'on peut même penser que le détour aurait été plus long, si Théramène, en s'engageant avec tant d'assurance sur une fausse piste, ne l'avait amené à précipiter son aveu. Si, depuis six mois qu'il est tombé amoureux d'Aricie, Hippolyte n'a jamais soufflé mot de sa passion à son gouverneur-confident, malgré le besoin qu'a d'ordinaire un amoureux de parler de celle qu'il aime, c'est que cet aveu lui est particulièrement difficile. Il l'est pour deux raisons. Il l'est d'abord parce qu'il a l'impression de renier celui qu'il a été jusqu'ici [20]. Mais cette raison n'aurait peut-être pas retenu Hippolyte aussi longtemps, s'il n'y en avait eu une autre beaucoup plus grave : l'interdit que la volonté paternelle fait peser sur Aricie [21].
Vous offensez les dieux auteurs de votre vie.
On retrouvera d'ailleurs le même parallélisme entre Hippolyte et Phèdre à l'acte II, ou la fausse nouvelle de la mort de Thésée va avoir pour conséquences de permettre, à la scène 2, la déclaration d'Hippolyte à Aricie et, à la scène 5, celle de Phèdre à Hippolyte. Et ces deux déclarations ne seront ni l'une ni l'autre préméditées : Hippolyte n'a demandé à voir Aricie que dans l'intention consciente de lui parler des problèmes de succession posés par la mort de Thésée et de lui annoncer les décisions qu'il a prises. comme Phèdre n'a demandé à voir Hippolyte que dans l'intention consciente de défendre les droits de son fils au trône d'Athènes.
Tu vois depuis quel temps il évite nos pas,
Et lui-même avouera à Aricie qu'il la fuit depuis qu'il la connaît, sans parvenir à l'oublier : Depuis près de six mois, honteux, désespéré,
Et, en ce faisant, il n'a fait que se comporter comme Phèdre elle-même s'est comportée envers lui. Ce qu'il dit à Aricie rappelle, en effet, ce que Phèdre a confié à Œnone des vains efforts qu'el1e a faits pour oublier Hippolyte, essayant d'apaiser Venus par des sacrifices : En vain sur les autels ma main brûlait l'encens :
Et, de même que les vains efforts d'Hippolyte pour oublier Aricie l'ont amené, au début de la pièce, à prendre la décision, de partir, de même les vains efforts de Phèdre pour oublier Hippolyte l'avaient conduite, faute de pouvoir partir elle-même, à le faire exiler. Notons, en passant, que Goldmann qui ne manque pas, lorsqu'il s'agit d'Hippolyte, de relever tous les emplois du verbe « fuir », s'est bien gardé de rappeler que Phèdre dit à Hippolyte : C'est peu de t'avoir fui, cruel, je t'ai chassé [29]. Mais, si tendancieux, si contestable que soit jusqu'ici son commentaire, c'est seulement un peu plus loin que Goldmann va nous montrer jusqu'à quel degré, presque incroyable, il pousse l'inintelligence ou le mépris des textes. Voici comment il commente, en effet, les propos et le comportement d'Hippolyte à la fin de la scène 1 et à la scène 2 : « Hippolyte qui va se jouer la comédie à lui-même et aux autres, conclut : Théramène, je pars, et vais chercher mon père. (I, 1). Mais Théramène, qui est - dans la pièce - le messager de la vérité, mais d'une vérité superficielle et incomprise, lui demande s'il ne veut pas auparavant voir Phèdre. Tant qu'il ne s'agit que de mots et non pas d'actes, Hippolyte se déclare prêt à faire face à la réalité. Ne verrez-vous point Phèdre avant que de partir,
Ce n'est, bien entendu, que du bavardage. aussitôt l'arrivée de Phèdre annoncée, il reprend sa véritable nature : Elle vient.
Hippolyte n'ira jamais au-devant de la réalité et du danger [30]». M . Bonzon, qui cite ces lignes, se contente de noter que le critique est « toujours aussi mal intentionné à l'égard d'Hippolyte [31]». C'est vraiment bien peu dire. Comment, en effet, ne pas relever ici un procédé dont il est difficile de savoir s'il faut l'attribuer à une stupéfiante inattention ou à une malhonnêteté éhontée, mais qui, dans l'un ou l'autre cas, devrait suffire à disqualifier un critique ? Goldmann rapproche les vers d'Hippolyte à la fin de la scène 1, où il se dit prêt à voir Phèdre, de ceux qu'il prononce à la scène 2, où il dit à Œnone qu'il se retire pour la laisser seule avec Phèdre, sans tenir le moindre compte de la tirade d'Œnone dont il ne cite que les deux derniers mots : « Elle vient ». Or Hippolyte ayant dit, en la voyant arriver, visiblement bouleversée, à la fin de la scène 1 : Mais quel nouveau malheur trouble sa chère Œnone ? elle lui a répondu par ces vers célèbres, mais que Goldmann veut ignorer : Hélas, Seigneur ! quel trouble au mien peut être éga1 ?
« Il suffit », répond Hippolyte. Et, en effet, ce que vient de lui dire Œnone suffit amplement à expliquer pourquoi Hippolyte, tout décidé qu'il ait été à voir Phèdre, s'empresse de se retirer lorsque Œnone lui dit qu'elle vient. Comment pourrait-il faire autrement ? Comment pourrait-il ne pas respecter la volonté d'une mourante et lui imposer sa présence, alors qu'il a tout lieu de croire que l'ordre qu'elle a donné « d'écarter tout le monde. », le concerne plus que tout autre, lui qui ne saurait lui montrer qu'un « visage odieux » ?
Sur l'équité des dieux, osons nous confier.
Tel n'est pas, nous l'avons vu, le point de vue de Racine qui admire, au contraire, la « grandeur d'âme » dont Hippolyte fait preuve en préférant se laisser accuser injustement et condamner à l'exil plutôt que de parler. Si, au lieu de décréter dès le départ qu'Hippolyte ne pouvait être qu'un pantin, Goldmann avait décidé de lui conférer, au contraire, la dignité de personnage « tragique », lequel, à l'opposé des personnages du « monde », « toujours prêts aux concessions et aux compromis [34]», se définit par « ses exigences d'absolu [35]», on peut être sûr qu'il aurait vu dans le refus un peu fou d'Hippolyte de dénoncer Phèdre la meilleure des raisons de le reconnaître pour tel.
Tout fuit, et sans s'armer d'un courage inutile,
On le voit, Goldmann ne pouvait citer ces vers sans porter un coup mortel à sa thèse. Aussi s'est-il bien gardé de faire face et d'essayer de prouver que seuls des esprits bornés pouvaient croire que les paroles de Théramène voulaient vraiment dire ce qu'elles semblaient vouloir dire. Il a préféré avoir recours à la tactique qu'il prête si abusivement à Hippolyte : la fuite. Il a froidement ignoré ces vers et n'a nullement cherché à expliquer pourquoi Racine avait cru bon de consacrer à la mort d'un pantin un récit aussi long que celui de Théramène. Cette longueur exceptionnelle se justifie pleinement, au contraire, si l'on pense, avec M. Jacques Schérer, que « son récit est une oraison funèbre, un hommage à la grandeur d'âme d'Hippolyte […] Devant les épouvantements envoyés par Neptune, Hippolyte lui seul, digne fils d'un héros, a su rester inébranlable. Mais trahi par ses chevaux et tout « "intrépide" qu'il reste jusqu'à la fin, il meurt et sa dernière pensée est pour Aricie et pour son père. Ce chant funèbre en l'honneur d'Hippolyte, amant, fils et guerrier exemplaire, impose le silence à Thésée comme au public, et tous les auditeurs communient dans la même émotion [37]». Mais justement, s'il y a une chose que Goldmann n'a jamais pu ou n'a jamais voulu comprendre, c'est que la tragédie, en général, et celle de Racine, en particulier, visaient à susciter l'émotion. Une chose est sûre, en tout cas, si, comme le prétend Goldmann, la tragédie racinienne n'était peuplée, à quelques très rares exceptions près, que de « fauves » ou de « pantins », elle serait bien incapable de remplir sa mission.
NOTES : [1] Première Préface d'Andromaque. Voir Racine, Théâtre complet, édition de Jean-Pierre Collinet, Folio, Gallimard, 1982, tome 1, p. 173. Toutes les références renverront à cette édition. [2] Je me permets de renvoyer sur ce point aux remarques de simple bon sens que j'ai faites dans ma thèse : Le « Sur Racine » de Roland Barthes, SEDES, 1988, pp. 228-229. [3] Le Dieu caché, Gallimard, 1955, p. 352. [4] Racine, l'Arche, 1970, p. 17. [5] Quatre seulement (Junie, Bérénice Titus et Phèdre) méritent pleinement ce titre. Un cinquième (Andromaque) ne le mérite que pendant les trois premiers actes. [6] Le Dieu caché, p. 351. [7] Ibidem. p. 354. [8] Situation de la critique racinienne, l'Arche, 1971, p. 83. 3 [9] Op, cit., tome II. p. 278. [10] Mais cela n'est pas pour gêner Goldmann qui déclare froidement que, bien que les préfaces « soient des textes hautement intéressants qu'i1 ne faut à aucun prix négliger ou sous-estimer, il n'y a nulle raison nécessaire que leur contenu soit exact et valable, pour que l'auteur ait compris le sens et la structure objective de ses écrits » (Le dieu caché, p. 353). [11] Le Dieu caché, pp. 423-424. [12] Hippolyte va rappeler un peu plus loin à Théramène (vers 75-82) combien son âme « s'échauffait », lorsqu'il lui racontait les « nobles exploits » de son père. [13] Le Dieu caché, p. 424. [14] Voir Phèdre, Corti, 1968, pp. 55-60. [15] La Nouvelle Critique et Racine, Nizet, 1970, p. 71-72. [16] Rappelons ce que lui a dit Théramène (vers 29-33) :
[17] Acte III, scène 5, vers 927-930 [18] Vers 37-38. [19] Ibidem. [20] Lorsque Théramène lui demandera tout à l'heure :
[21] Hippolyte rappellera cet interdit un peu plus loin (vers 101-106) :
[22] Vers 148. [23] Acte 1, scène 3, vers 197-200. [24] Le Dieu caché, p. 424. [25] Ibidem, p. 425. [26] Acte 11, scène 1, vers 403-404. [27] Acte II, scène 2, vers 539-545. [28] Acte 1, scène 3, vers 284-290. [29] Acte II, scène 5, vers 684. [30] Le Dieu caché, p. 425. [31] Op. cit., pp. 72-73. [32] Vers 143-151. [33] Le Dieu caché, p 426. [34] Racine, p. 110. [35] Situation de la critique racinienne, p. 58. [36] Acte 5, scène 6, vers 1525-1530. [37] La Dramaturgie classique en France, Nizet, 1962, pp. 241-242. [38] je me permets de renvoyer ici à l'étude que j'ai consacrée à l'utilisation que Goldmann a faite du personnage de Barcos (voir « Barcos, le janséniste par excellence , », XVIIe siècle, no 164, juil-sept. 1989, pp. 331-357.
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